Cameroun : Les ex-Amba font un travail exceptionnel dans la sensibilisation et la déradicalisation des terroristes

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Amba-World – Point du mois de Novembre: L’intensité du feu a baissé dans le NOSO

L’intensité du feu a baissé dans le NOSO. La vie reprend progressivement son cours. Les terroristes en déroute ou ceux qui avaient tout simplement été intoxiqués, déposent progressivement les armes et se rendent. Les DDRs ne désemplissent pas. Les ex-Amba font un travail exceptionnel dans la sensibilisation et la déradicalisation des terroristes. 

 

 

 

 

La Voix Des Décideurs – Ils reçoivent de nouveaux arrivants presque quotidiennement. Mais le NOSO n’est pas sortie de l’actualité- Il constitue heureusement, seulement, un sujet de récupération par les ennemis du Cameroun tapis dans quelques rédactions et un parti politique ethno-tribalo-fasciste.

Sensibilisation

Les ex-Amba font un travail exceptionnel dans la sensibilisation et la déradicalisation des terroristes. Les têtes de proue de cette campagne sont Beltus, Clovis, Joel, Kingsly, Zambrota, Valentine, et Rado. Chevauchée à moto, Beltus, Valentine, et Clovis, sont allés dans le fief de Field Marshal pour sensibiliser aussi bien la population que les terroristes. Dans les marchés, sous la pluie ou le soleil, ils se donnent à fond pour sauver la vie des enfants-terroristes intoxiqués par la bande des terroristes—sous protection installés—en Europe et en Amérique.

Désormais, c’est la ‘Loi de Talion.’ Une case incendiée dans le NOSO sous l’instigation des terroristes logés en occident, celle de leurs parents sera réduite en cendres. L’avertissement avait été donné le 1er Novembre par Nambere à Paul Nylon. Une mise-en-garde faite devant la porte de la case en ‘carabotte’ des parents de Nylon à Kumba. A la suite de cet avertissement, il déclara. ‘Quiconque obéira demain au mot d’ordre de la ville fantôme à Kumba sera considéré comme un Amba. Et nous, la majorité silencieuse, traiterons avec eux en conséquence.’ Il précisa que ‘tous les magasins devraient ouvrir à Kumba.’

 

 

Ensuite, il demanda à chaque habitant de la ville d’être le gardien de son concitoyen. Mais surtout de dénoncer tout acte terroriste aux autorités. Une formule déjà signée par Blé Goudé en 2010 au stade Champoux à Abidjan. D’un autre côté, Beltus et Clovis sont les maîtres d’œuvre d’une telle menace à l’endroit du gang Eric Tataw, Tapang Ivo, Sako Ikome, Chris Anu, Mark Barata, Capo Daniel, KooKoo, Ayaba Cho, et les autres.

L’armée impose le ralliement

Leur sensibilisation et avertissements a aidé les Forces de Défense et de Sécurité sur le ‘théâtre des opérations.’ Pour plus d’efficacité et d’efficience, elles ont changé leur approche sur le terrain. La stratégie ‘attaque-riposte’ est désormais désuète. Les soldats vont chercher les terroristes là où ils se cachent. Les font avoir un cauchemar avant d’être expédiés en enfer. Le camp du BIR installé à Bali vient en appui à cette tactique. Elle permet aux FDS de rendre la vie dure et la mort facile aux terroristes.

Sur la combinaison de ces deux facteurs, 7 terroristes sous le commandement de ‘No Pity’ ont été abattus à Bambalang le 2 Novembre.  Le lendemain, à Bali-Nyonga, 4 autres pris en embuscade sont liquidés par le BIR. Le terroriste Gaston aka ‘Commander Gentle Devil’ est éliminé le 14 à Bafanji, dans le Balikumbat, Sous-Préfecture de Ngoketunjia. Le 15, deux de ces chiens-égarés sont massacrés. Le 16, le ‘General Thunder’ de Ngoketundja, est tué par la gendarmerie de Ndop.

 

 

 

 

 

 

 

La Police n’est pas en reste. Sur la route de Bali, elle découvre le 2, une grenade cachée dans un véhicule et devant servir à des actes de terreur. Les occupants du véhicule sont conduits à la police judiciaire de Bamenda.

Ralliement en cascade

La prise de conscience collective de la population, les menaces de représailles des ex-Amba à l’endroit des sponsors des terroristes, terrorisent les terroristes. Individuellement ou par groupe, ils déposent les armes et rejoignent les DDR Centers.

Le gros des désertions vient du Lebialem. Le 10 Novembre Forsah Michael alias ‘Général Na-eh’ et Nkemnkeng Marius, l’un de ses lieutenants se rendent aux autorités, puis sont conduits au DDR Center. Le 16, un groupe de cinq ex-terroristes fait allégeance au Commissaire Divisionnaire de Alou. Deux jours plus tard, Alou voit 11 autres ex-terroristes déposer leur baluchon au DDR Center. La saignée continue. Le 20, les ex-terroristes de Santa rejoignent le DDR Center de Bamenda.

 

 

Field Marshal dans la cible

Selon certaines sources, moins d’une vingtaine de terroristes se trouveraient dans les forêts de ce village. Conséquence, Field Marshal, le fauve(?) du Libialem, peureux par naissance, et qui n’a jamais pris part à une attaque, est devenu un rat. Il se terrerait dans la forêt à la lisière du Nigeria. Mais ses jours sont comptés. Il sera cueilli comme Ayeke. Il n’aura pas la chance de se libérer de sa dernière libido comme le ‘General’ Julius de Babessi abattu le 6 Décembre lors de ses ébats sexuels. D’ailleurs Chris Anu qui s’est constituée une fortune a partir des kidnappings opéré par son frère Marshal, lui a conseillé de sauver sa peau.

Lebialem autrefois le sanctuaire de Ayekeh, Field Marshal, Fonthem Christopher second de Oliver, Short commando, Papa Water, Anatio Djemja, Maya, n’est plus le village de tous les risques. Ces gros terroristes en dehors de Marshal sont tous morts suite à un règlement de compte entre eux, ou abattus par les Forces de Défense et de Sécurité.

Forces de l’ombre déstabilisées

Les efforts collectifs des activistes-patriotes sur les réseaux sociaux, d’anciens-terroristes, de la population du NOSO, des autorités Régionales et gouvernementales, et de l’armée, ont déstabilisé les ennemis du Cameroun. En l’occurrence Tibor Nagy et Macron. Dans le même panier, leurs sous-fifres—Kamto Maurice. Les veuves-noires Michele Docky, Alice Nkom, Maximilienne Ngo Mbe. Les media-mendiants et journalistes(?) affamées, Equinox tv, Le Jour, Mutations, Le Messager, Emergence, La Nouvelle Expression.

 

 

 

 

Si cette racaille-terroriste à la plume et au micro sur le territoire Camerounais réussit encore à créer des histoires-mensongère comme celle Stéphanie Djomo imaginée, écrite, et mise en scene par Equinox tv, les journalistes-mercenaires des réseaux sociaux Eric Tataw, Chris Anu, Mimi Mefo, sont en panne.

S’accrocher même au serpent

Ce qui leur reste, les coups d’éclat avant de sombrer. Le 5 Novembre, Cardinal Tumi(90 ans), le Fon de Nso, Sa majesté Semh Mbinglo, la Reine-mère et quelques notables sont kidnappés. Sa majesté Semh Mbinglo avait déjà connu ce calvaire. Et deux princes de Nso assassinés par ces amis-de-Macron.

Convoyé à Yaoundé par Hélicoptère militaire pour des soins médicaux, Sa majesté Semh y passera trois ans d’exil. Revenu, sans même fouler le sol du Palais-Royal, il est re-kidnappé. Son malheur? Proclamer à qui veut l’entendre, qu’il défend ‘le Cameroun Un et Indivisible.’ D’ailleurs, lors de son enlèvement de Novembre, inébranlable, il a redit à ses ravisseurs, ‘I stand for One Cameroon.’ Ceci au prix de sa vie. Pas comme Kamto qui, dès qu’il hume l’air de la liberté, file ventre à terre, abandonnant derrière lui ses lieutenants.

Ce rapt ne dure que quelques heures. Cardinal Tumi est libéré après cinq heures d’interrogatoire. Sa majesté Semh Mbinglo après 24 heures, sous la menace des Chefs traditionnels d’utiliser les armes traditionnelles non-conventionnelles pour neutraliser ces terroristes.

 

 

 

Contradictions entre alliés

Cet enlèvement est une opportunité pour une opposition-aux-ordres-de-Paris, les ONGs-factices, et les media-commerçants, de se faire du beurre. Sur les plateaux, les antipatriotes pointent la responsabilité du gouvernement. Pour eux, les autorités devraient coller aux fesses du Cardinal une garde. Accusation vaine. Puisque ce dernier avait refusé une escorte militaire proposée au Fon de Nso. Ceci sous le fallacieux prétexte que les terroristes sont de ‘bons-gars.’

Cependant, la contradiction la plus fracassante est venue de leurs alliés terroristes qui dès les premières heures de ce kidnapping ont déchargé le gouvernement. Eric Tataw avait immédiatement accusé Sako tout en indiquant qu’il envahirait son domicile s’il advenait un malheur au Cardinal Tumi. Les différentes fractions-terroristes savaient que ce kidnapping était l’une de leurs actions. Contrairement au club-antipatriotique mené par Kamto qui fonctionne dans sa bulle. Et ses ouailles sans aucun sens de recherches récitent le mantra-mensonger de leur chapelle.

Novembre porte le deuil

Novembre prouve que cette bande de terroristes n’est qu’une carapace vide. Le 5, au parc d’attractions de Kumba, le Cameroun à travers Buea, a pleuré au nez et à la barbe des terroristes, ses enfants assassinés le 24 Octobre par la coalition France-USA-Europe-Amba. Joseph Dion Ngute, Premier Ministre, présida la cérémonie des obsèques des sept écoliers assassinés froidement dans leur école à ‘Mother Francisca International Bilingual Academy’ à Kumba par les terroristes-Ambazoniens sous la pulsion occidentale.

Ce deuil avait été porté à l’unisson par tout le Cameroun. A l’exception des media-mercenaires et le MRC qui s’étaient réjouis de ce crime abominable. Trouvant dans ce malheur qui a ruiné physiquement, moralement et mentalement les familles éprouvées, un fonds de commerce politique.

 

By Feumba Samen

 

 

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